Vu sur l’Express : À quoi ressemblera le travail dans 60 ans ?

Voici un article très intéressant qui pose un certain nombre de questions sur le travail de demain ! A quoi cela ressemblera-t-il ? L’article met bien en évidence que les traditionnelles notions de lieux et d’horaires de travail sont remises en cause, tout comme la notion de CDI, le rapport employeur-employé et le lien de subordination qui en découle, etc.

L’un des sous-jacents de l’article est que chacun d’entre nous est de plus en plus en quête de sens, pré-requis indispensable à l’engagement, et que le sens peut être trouvé dans le fait d’intervenir ponctuellement sur des projets dans lesquels on croit et sur lesquels on a une forte valeur ajoutée. Et ces interventions pourraient survenir dans différentes entreprises plutôt qu’une seule.

Demain, notre valeur sera également moins perçue par rapport à nos diplômes qu’à notre réseau, soit notre capacité à trouver les informations et compétences où elles se trouvent plutôt que d’essayer – illusoirement – de prétendre déjà tout savoir. Ce qui renvoie finalement au rôle de l’école, qui vise peut-être moins à nous faire emmagasiner de l’information (aujourd’hui disponible sur le Web) qu’à nous apprendre à raisonner, interagir et entreprendre. Bref, le début de passionnantes réflexions 😉

À découvrir aujourd’hui, un article de Myriam Dubertrand publié dans la rubrique de l’Express :

Le traditionnel contrat à durée indéterminée, à temps plein, pour un employeur, exercé dans les locaux de l’entreprise et selon un horaire établi, a-t-il vécu? « Le vieux modèle du CDI à vie qui implique la soumission à l’entreprise est en train de s’éroder, constate Philippe Achalme, DRH distribution Europe de l’assureur Aviva, même si le besoin de protection reste encore ancré dans les esprits. »

Certes, « le CDI est encore la norme aujourd’hui », rappelle Chantal Prina. La chargée de mission à l’Agence Rhône-Alpes pour la valorisation de l’innovation sociale ajoute: « Les formes ‘atypiques’ d’emploi représentent 75% des embauches, mais ne concernent encore que 25% de l’ensemble des postes. » Mais la tendance se dessine.


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