Ca y’est, c’est la rentrée ! Sans vouloir démarrer cette nouvelle année scolaire par une note pessimiste, je fais suivre un article du figaro.fr écrit par Yann Le Galès expliquant que les français ont du mal à se remettre au travail !
En soi, rien d’étonnant à préférer les barbecues entre amis après une pétanque que d’être enfermé dans un bureau à tenter de traiter ses 1200 emails en retard. Ce qui est plus inquiétant, c’est que le stress ressenti trouve ses racines dans des raisons plus profondes : l’absence de visibilité quant à son avenir professionnel !
Le contexte macro-économique, le gel des salaires corrélé, le ralentissement des mobilités et diverses promotions du fait que les budgets de recrutement soient majoritairement gelés… tout cela empêche de se rendre au travail le lundi matin en se disant que l’on peut s’engager, semer et recueillir.
Alors que faire en cette rentrée ? Attendre les prochaines vacances ou tenter de reprendre la main sur son destin professionnel ? Les bonnes résolutions de la rentrée sont habituellement là pour donner vie à la deuxième option…. Il est clé au moment de la rentrée de se donner une ligne de conduite, de fixer le cadre que l’on estime le plus approprié pour :
- Atteindre ses objectifs professionnels
- Redéfinir la priorité de ces différents objectifs
- Redéfinir ce qui constitue un bon équilibre vie pro-vie perso
- Redéfinir son projet professionnel moyen-long terme (son cap quoi…) afin de cheminer sur son « parcours idéal » et s’épanouir
- Redéfinir ce que l’on est prêt à accepter ou pas
Tous ces éléments constituent les garde-fous dont nous avons besoin pour ne pas subir le stress de la rentrée. Bien sûr que beaucoup de résolutions ne passeront pas le cap de l’automne (cf. le post associé), mais elle permettent au moins d’impulser une bonne dynamique, celle dont nous avons besoin pour nous « relancer ».
Alors à vos crayons et hauts les coeurs 😉
Bonne lecture.
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La charge de travail est la première cause de leur malaise. Les hommes dénoncent les relations avec leur hiérarchie. Les femmes regrettent les difficultés à tenir les delais.
Les cadres français n’ont pas le moral. Ils n’arrivent même pas à repartir avec enthousiasme au bureau après leurs vacances. Selon une étude réalisée par Cadreo auprès de 636 cadres français actuellement en poste ou en recherche d’emploi publiée lundi 25 août, 94% d’entre eux affirment être stressés par leur travail. Un tiers avouent l’être en permanence.
